Le réchauffement climatique s’accélère. Or, le secteur des transports représente en France à lui seul 31 % des émissions de gaz à effet de serre ! C’est aussi une cause importante de pollution. La voiture électrique joue donc un rôle clé pour décarboner le parc automobile, améliorer la qualité de l’air et atteindre l’objectif fixé au niveau national : zéro émission nette en 2050.
Sommaire
• Moins d’émissions, moins de pollution
• Plus de sérénité et de facilité
Moins d’émissions, moins de pollution
Votre voiture électrique contribue à améliorer la qualité de l’air. Aujourd’hui, la pollution atmosphérique due aux émissions de particules fines des véhicules thermiques est la deuxième cause de mortalité évitable en France. Elle entraîne chaque année près de 48 000 décès prématurés. Cette pollution est plus importante dans les grandes agglomérations, mais elle touche aussi les villes plus petites et le milieu rural.
Rouler en voiture électrique, c’est conduire un véhicule à faibles émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques : elles sont inférieures ou égales à 60 grammes par kilomètre pour le CO2. Vous émettez très peu de polluants nocifs, un geste pour la planète et pour la santé de tous.
Passer à l’électrique, c’est aussi participer à la réduction des déchets industriels. Les pièces à changer sont moins nombreuses que sur un véhicule thermique, et il n’y a plus de vidange à faire, donc plus d’huile de vidange à recycler. 80 % des composants des batteries électriques au lithium-ion sont recyclables. Des projets pour leur offrir une seconde vie sont en développement. Autant de bons points pour l’environnement !
Plus de sérénité et de facilité
Votre voiture électrique réduit la pollution sonore. 12 % des Français subissent des nuisances sonores élevées liées au trafic routier. Leurs impacts néfastes sur la santé sont nombreux : stress, irritabilité, fatigue, épuisement général, acouphènes, voire dépression et maladies cardiovasculaires. Le véhicule électrique change la donne. Nettement moins bruyant que son équivalent thermique, il fait baisser la pollution sonore, notamment en ville, et améliore notre qualité de vie.
En octobre 2020, le gouvernement a pris de nouvelles mesures pour faciliter l’acquisition et l’utilisation des véhicules électriques : bonus écologique, prime à la conversion et coup de pouce pour les bornes de recharges. Ces aides et ces crédits d’impôt les rendent plus accessibles aux Français.
La forte expansion du réseau de recharge en France simplifie également le passage à l’électrique. Le nombre de points de recharge est passé de 24 808 en 2018 à 82 107 en 2022, pour atteindre plus de 100 000 en 2023. L’Union européenne vient même d’adopter un texte qui prévoit le déploiement d’une borne tous les 60 à 100 km sur son territoire d’ici à 2030.
FAQ
Des études ont montré qu’en France l’impact carbone d’une voiture électrique est 2 à 3 fois plus faible que son équivalent thermique. Si sa production émet des gaz à effet de serre, elle les compense à l’usage – le point de bascule se situant autour de 70 000 km.
80 % des composants des batteries au lithium-ion sont recyclables. Des métaux comme le cobalt, le lithium, l’aluminium et le cuivre sont récupérés. Bientôt, les batteries neuves intégreront des matériaux recyclés .
Pour éviter les accidents, les véhicules électriques commercialisés en Europe depuis fin 2019 sont équipés d’un signal sonore d’au moins 56 décibels, émis dès qu’ils roulent en dessous de 20 km/h.
Outre ENGIE Vianeo, plusieurs applications – Chargemap, ABRP, Waze, Plugshare, Nextcharge – vous donnent un accès instantané à près de 300 000 points de recharge partout en Europe.